F. Le Huche
Paris
flehuche@orange.fr
L’évolution après traitement par la toxine botulique et/ou par la rééducation fonctionnelle semble plaider en faveur de cette hypothèse. Celle-ci cependant, suscite en général une certaine réticence, en particulier de la part des neurologues, réticence qui mérite réflexion.
Parallèlement à la reconnaissance des laryngopathies dysfonctionnelles qui actuellement en ORL ne fait plus guère de problème, ne peut-on prévoir la reconnaissance générale prochaine de neuropathologies dysfonctionnelles s’appliquant en particulier au domaine des dystonies de fonction ?
L’ORIGINE FONCTIONNELLE DE LA DYSPHONIE SPASMODIQUE EST-ELLE ENVISAGEABLE